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 Théodore Anderson O'Donnel

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MessageSujet: Théodore Anderson O'Donnel   Théodore Anderson O'Donnel EmptySam 12 Mai - 23:22

feat. Tanner Patrick
«Théodore Anderson O'Donnel »
« On ne force pas une curiosité, on l’éveille», Daniel Pennac

Nom : O'Donnel
Prénoms : Théodore Anderson
Surnoms : Théo, Teddy, Andy, Donuts…
Âge : 20 ans
Sexe : Masculin
Date & lieu de naissance : Dublin, Irlande, un 12 mai 1993
Orientation sexuelle : Homosexuel
Origines : Irlandais de mère en fils et de père en fils.
Pensionnaire ? Oui
Riche ou boursier ? Plutôt riche oui…
Classe : Bachelors
Groupe : ♥ Hearts ♥

« Description Physique »
"Pour son père, Théodore est parfait."

Théodore est le portait craché de sa mère. Il tient d’elle tout ce qu’il peut tenir d’elle. Il ne l’a pas vraiment connu mais de ce que son père lui racontait sur elle, il avait retenu que sa mère était une jolie petite princesse rousse avec de grands yeux chocolat. Elle avait la taille menue et adorait dansé. Quand il était petit, Théodore subtilisait une des photos de sa maman posée sur le manteau de la cheminée puis faisait le singe pour atteindre un miroir et essayer de se comparer à la disparue. Son père apparaissait, le soulevait et tous les deux cherchaient les différences.
Sa mère et lui avaient en commun une même chevelure rousse. Certes celle de la disparue était plus flamboyante mais celle de Théodore exprimait plus de choses. C’était tout de même une chevelure masculine. Elle ne tenait – et ne tient – toujours pas en place. Lorsqu’il restait trop longtemps au soleil, elle prenait une couleur caramel. Comme celle de son père. Ce dernier les lui ébouriffait pour qu’il s’endorme plus rapidement quand il n’y arrivait pas. Puis en grandissant ces cheveux ébouriffés avaient prit une allure plus que fauvesque. Au réveil, le jeune homme ne faisait qu'y passer une main endormie, les coiffant d'un geste. Cela lui donnait un air rêveur et enfantin qu'il ne démentait pas.
Ses cheveux s'accordent à ses yeux. Des yeux étranges qui vacillaient entre le vert clair et le brun chaud. Andrew, son père, avait remarqué que plus le garçon était content plus le regard était d'un vert éclatant alors que si une colère profonde le prenait le regard s'assombrissait. Ce genre de changement se remarquait aussi sur le visage du garçon, devenu un beau jeune homme. Dans le cas de grandes colère le visage enfantin se ferme brutalement pour laisser la place à un visage beaucoup plus adulte. Heureusement (ou malheureusement) ce genre de colère n'arrive que rarement.
Andrew préfère voir le grand sourire de son fils aux grimaces furieuses.
Théo a hérité de la délicatesse de sa mère. Ses doigts sont fait pour les touches d'un piano, leurs bouts est abîmés à cause de cordes de guitare. Il endure la douleur en souriant. Il aime ce qu'il fait. Il se déplace autant avec la grâce d'une gazelle qu'avec celle d'un éléphant dans un magasin de porcelaine. Il a une haute stature ce qui lui facilite les choses quand il veut draguer un homme plus petit que lui.
Pour son père, Théodore est parfait.

« Description Mentale »
«Détruire la perfection le détend.»

Ce type sourit trop... Ça cache quelque chose... Une enfance douloureuse ? Un parent décédé ? Des problème à l'école ? Rien de tout cela, Théodore sourit à la vie parce qu'il en a envie. Mieux vaut rire que pleurer, c'est sa phrase à lui. Bon il y a de quoi pleurer quand on perd sa maman mais elle n'est pas morte donc on ne pleure pas. Son père a besoin de sa force c'est ce qu'il se disait du haut des ses huit ans. Alors il prend tout ce qui fait mal avec un grand sourire. Et quand ça devient vraiment douloureux, il envoie tout bouler avec des coups en prime.
A l'adolescence, il s'était fermé comme une huître dans une sorte de mutisme. Il ne répondait que par des monosyllabes. Découverte de sa sexualité différentes des autres garçons. Si eux avaient des préférence pour des Mary, des Suzanne et autres tartes, lui préférait les Robert, Fred et autres noms plus masculins. Il ne s'exprimait aussi qu'avec sa gratte envoyée par sa mère quelques jours avant son dix septième anniversaire. Finalement ce cadeau lui avait permit de s’ouvrir à son père et d'accepter ce qu'il était.
Mettre Théo en colère est assez rare. Il faut vraiment qu'il soit de mauvaise humeur avant de lui balancer les mots qui font mal. Techniquement il ne sert à rien de l'insulter sur sa sexualité, ça lui passe au dessus de la jambe. Il est immunisé en quelques sortes. Comme presque personne n'est au courant pour sa famille (il dit à tout le monde que sa mère est morte) il n'y a pas grand monde pour l'insulter.
Ce qui lui met les nerfs en pelotes c'est que l'on touche à ses affaires. Il adore le bazar, quand rien n'est en ordre, quand tout est sans dessus dessous. Il se sent bien quand tout ne ressemble à rien. Et quand tout est bien ranger, quand tout semble trop parfait. Il ressent le besoin de détruire. Détruire la perfection le détend.
Il a un côté négligeant et il l'est vraiment. Il ne prend pas soin de ses affaires. Seule sa guitare a droit à un respect que les autres objets non pas.

« Histoire »
«Quand on est dans la merde jusqu’au cou, il ne reste plus qu’à chanter,» Samuel Becket.

De la neige dans les cheveux, Eliza O’Donnel fit irruption dans le salon dans la petite maison qu’elle habitait avec son petit mari. Ce dernier ne leva pas la tête de son livre en l’entendant arriver. Il avait l’habitude de voir sa femme agir comme ça. Ce petit bout de femme était une pile électrique. Des flocons tombèrent entre les pages du livre qu’il lisait. Ce dernier lui échappa et de petites fesses se posèrent sur ses cuisses. Deux bras s’enroulèrent autour de sa nuque. Andrew O’Donnel leva la tête pour rencontrer le regard tendre de son épouse. Il retint le froncement de sourcils qui allait naitre. Dans ces yeux verts il pouvait voir une nouille de malice qui ne présageait rien de bon.
L’homme savait qu’il ne refuserait rien ce regard, il le faisait fondre à chaque fois qu’il le croisait. Il glissa une main dans les cheveux roux.
- Vous savez que je vous aime Andrew…
Le susnommé se crispa légèrement. Les bras d’Eliza se resserrèrent autour de sa gorge, déposant un baiser sur sa tempe.
- Et que j’apprécie la vie avec vous, mais il me manque quelque chose…
Elle se mordilla la lèvre anxieuse puis quitta les genoux de son époux.
- Continuez Eliza, murmura Andrew.
Il craignait le pire. Trois ans qu’ils étaient mariés c’était la première discussion sérieuse qu’ils avaient (la dispute sur la couleur du canapé ne comptait pas). Il craignait vraiment le pire et il avait raison.
- Je veux un bébé Andrew !
- Hein ?!
L’homme avait eu un bug en entendant le mot « bébé ». Plus aucune pensée cohérente ne filtrait. La bouche grande ouverte il essayait de remettre son cerveau en l’état. Donc un bébé… Un de ces machins qui ne laissaient pas dormir ? Qui ne faisait qui braillait ?
- Sans…
- De toute façon, je suis enceinte !
- … façon ! Quoi ?
Cette femme avait le don de le mettre devant le fait accomplit. Il s’était levé à son tour. Il ne voulait pas d’un bébé parce que cela contenterait du monde dans sa famille. Andrew oublia la présence d’Eliza et se mit à faire les cents pas.
Andrew O’Donnel était un fils d’un PDG qui était lui-même fils de PDG. Le futur grand-père était une sorte de tyran familial. Il n’était pas du genre à faire dans la dentelle quand il s’agissait de l’éducation de ses enfants. Ce n’était pas de reproduire le schéma familial qui l’effrayait parce que pour rien au monde il ne se comporterait comme son paternel. Avoir été élevé par un père autoritaire et une mère absente changeait un enfant. Il savait qu’avec Eliza cela ne risquait pas d’arriver. Elle était le portrait d’une mère aimante et affectueuse. Andrew ne voulait pas que sa progéniture tombe sous le joug de ce despote de grand-père.
Une paire de bras l’arracha à ses pensées guère réjouissante.
- Drew, je sais à quoi tu penses alors oublie les. Ils ne vont pas décider de notre avenir. Nous nous aimons et nous aimerons le futur bébé.
L’homme se tourna vers elle, un sourire amoureux sur les lèvres. Vrai qu’avec cette femme tout pouvait être possible.
- Je l’appellerais bien Patrick, fit-il.
~
- Théo ! C’est prêt !
Manger ! Le garçon lança plus qu’il ne posa sa guitare sur son lit. Il s’excuserait plus tard tiens ! Il fit une pause devant le miroir pour saluer la photo de sa mère qui lui souriait. Passant une main dans ses cheveux il dévala les escaliers. Ce fut avec plaisir qu’il accueillit les grommellements de son père à propos du fait qu’on ne courrait pas dans les escaliers. Théodore finit sa course avachie sur le canapé. La télévision allumée n’attendait plus que le père. Père qui passa l’encadrement de la porte du séjour avec un plateau-repas.
Andrew O’Donnel n’était plus vraiment le jeune homme fringant qui pouvait courir après son chenapan de fils. Ses cheveux bruns parsemés de blanc en témoignaient. Malheureusement le dit fils ne lui épargnait ni ses cheveux ni son pauvre cœur. Le galopin (âgé de dix-huit ans tout de même) enchaînait les bêtises. Sans grandes gravités certes mais du genre à se faire enguirlander par son propre père lors des déjeuners en famille. Il haïssait son père mais se forçait à ne laisser rien paraître pour ne pas causer de tort à Théo. Ce dernier était assez grand pour se sortir de la panade où il se fourrait tout seul.
Théo passa son bras autour des épaules de son paternel vieillissant. L'absence de sa mère se faisait de plus en plus pesante au fur et à mesure des années qui passaient. Elle avait disparue alors qu'il allait sur ses sept ans. Il savait que son père soupçonnait son grand-père d'être derrière cette disparition. Lui aussi n'aimait pas le paternel de son paternel et comme ses grands-parents maternels n'étaient plus de ce monde il fallait faire avec ce qu'il avait. Il se l'était vraiment mis à dos lorsqu'il lui avait annoncé qu'il préférait la douceur masculine à celle féminine. Théo avait cru sa dernière heure arrivée heureusement son père avait calmé le jeu. Il avait obtenu le droit de fréquenter des hommes jusqu'à ce que son grand-père lui trouve une fiancée. Mais enfin depuis ce jour ils n'avaient plus vraiment remis les pieds chez ce vieux croûton. Puis ils avaient du quitter l'Irlande pour le grand pays qu'était l'Amérique et plus du tout de vieux croûton dans les parages.
Pour l’heure ils étaient assis sur le canapé de leur petite villa américaine. Le grand garçon avait entamé des études commerciales pour plaire à papy mais faisait de la musique dans des clubs tard le soir. Il voulait être musicien mais ça ne plaisait pas dans la famille. Donc il allait éviter de rajouter un nouveau défaut à tous ceux déjà présent.
- Tu as reçu une lettre de ta mère et demain on t'inscrit dans une nouvelle école, fit son père en mordant un sandwich. Cuisine.
Théodore abandonna son père pour la cuisine. La lettre portait une douce odeur sucrée, celle de sa mère. Il avait encore de ses nouvelles et lui en donnait sur la situation actuelle. Mais ils ne savaient pas où elle se trouvait.
- Papa ! Elle propose de payer la suite de mes études ! Elle dit que ça fera les pieds à ton vieux ! Alors ?
Andrew rejoignit alors son fils.
- C'est toi qui vois gamin.
C'était tout vu ! Il acceptait l'offre de sa mère. Pour oublier ce qui l'attendait plus tard. « Profite de ta vie mon grand. » C'était la dernière phrase de la lettre de sa mère. Il comptait bien l'appliquer.
Direction Pleamore High School !
~
Deux ans qu'il y était à Pleamore, et c'était bien mais sans plus. Bon il avait réussi faire accepter son homosexualité à une grande partie de l'école (vive les soirées clandestines !). Il y avait encore les petits coincés qui pétaient de travers quand il était dans le coin mais dans l'ensemble c'était plutôt cool. Il n'avait plus eu de nouvelles de sa mère après son admission ici. Et les coups de fils avec son père commençaient à s’espacer. Il s'en inquiétait mais ne le montrait pas vraiment. On était pas à Pleamore pour s'apitoyer sur son sort mais pour devenir quelqu'un de reconnu ! Et il comptait bien se faire nom non pas dans le commerce mais dans la musique !

« Derrière l'écran »

Ton pseudo : Teddy (ou Hana)
Ton âge : 17 ans
Ta date de naissance : 6 jour avant la fin du 7ème mois de l'année, née quatre ans avant la coupe dernière coupe du monde gagnée par la France.
Fille ou garçon ? Fille
Comment t'es arrivé ? Les doigts sur les touches de mon clavier.
Code du règlement : OK by Leven.
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Théodore Anderson O'Donnel

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